article Diptyk Magazine - Olivier Rachet christian mamoun December 18, 2023 “Loin des propositions regardant du côté de la science-fiction et d’un univers post-apocalyptique, la proposition de Christian Mamoun intitulée malicieusement What could have been explore un imaginaire personnel partagée entre sa double culture marocaine et allemande. Les images qu’il génère s’apparentent pour lui à « une nostalgie du possible » faisant autant la part belle aux souvenirs qu’aux fantasmes. Soucieux de brouiller les pistes, le photographe précise que certaines des images, toutes imprimées à partir de la technique du cyanotype, relèvent véritablement de la photographie. Ce flou revendiqué revêt pour lui une dimension pédagogique : « J’ai toujours considéré, explique-t-il, qu’on devrait apprendre à lire et à analyser les images comme on apprend à lire, écrire ou compter. C’est primordial que les gens s’éduquent à l’image. » (....) Reste enfin l’épineuse question du copyright et du statut juridique de ces images générées par l’IA. « L’image-seed quand elle préexiste ne m’appartient pas », commente Christian Mamoun, expliquant la différence entre l’image-seed (image première ou image source) et l’image-variante. « Par contre, l’image-variante peut m’appartenir », ajoute-t-il” — https://www.diptykmag.com/ia-au-maroc-une-renaissance-artistique/?fbclid=IwAR0m2cnmzk2qvI9k9zKNTj83pcPDSl8UWO1h6ERweY-iUPhKEo1MCMx2aw4Quote Source