Happy to be part of Abla Ababou Galerie group show #joy With « Jade résiste. » and unseen and unpublished images!
groupe show Joy at Abla Ababou Gallery
Looking foward to be part of the #joy group show by Abla Ababou Galerie with some brand new #unpublished images
Comment habite cette "fille de la campagne" ?
Vivant entre la ville et la campagne Bérénice nous accueille dans sa maison d’enfance, la ferme familiale ou elle vit et travaille la majeure partie du temps.
Hériter d’un terrain agricole, exprimer un « chez soi » en dehors des murs, à l’extérieur et en tant que globalité, vivre son identité de « fille de la campagne », de tout ca et bien plus on parle avec Bérénice dans sa video qui sort sur YouTube aujourd’hui
https://www.youtube.com/watch?v=cgbuWnW02Xc&t=3s
like, comment et share please
Laissez moi un commentaire si vous avez fait des expériences similaires ou tout simplement si vous avez des réflexions à ce sujet je serais ravi de discuter avec vous dans les commentaires
Jade résiste.
Jade et la statue. Deux corps. Vivant et inerte, où le muscle sert le mouvement. L’image dépasse de loin l’esthétisme et le nu.
Jade nu.e sur un corps de bronze. Qui s’entremêlent, se confrontent pour esquisser un horizon. Jade fixe un mouvement pour définir une esthétique sans ne jamais figer. Face aux canons de beauté et poids de l’histoire.
Jade est un être dont le corps sert une manière d’être. Jade ne se considère pas femme mais non binaire. Autant femme que homme vivant dans un corps de sexe féminin.
Jade fixe son identité, ses tatouages parle d’elle comme son corps scande une envie de vie. Son esthétique revendique son choix de ne pas choisir.
Jade se confronte nu.e face à la foule et met en scène sa stature. Jade se positionne, elle positionne ce qu’elle est physiquement, un corps de sexe féminin, adoptée d’origine algérienne.
Jade n’a pas de sexe, pas de genre, pas d’origine, davantage un mouvement, une esthétique. Dire plus qu’être. Cette identité transgresse. Elle transgresse le monde cis genre hétéro normé blanc, elle devient un monument de revendication.
Jade résiste.
Fière de montrer ce travail sur #photovogue
i want him to be ocean published on Photo Vogue
happy to have published one of my favorite images from "i want him to be ocean" on #photovogue today
New episode: Comment habite cette tattoo artiste a Berlin?
Travailler pour payer son loyer, sortir du système et rendre sa passion sa profession;
de tout ça est beaucoup plus on parler avec Héloïse Florent dans sa vidéo qui sort sur YouTube dès maintenant
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New episode: Comment habite cette Sapologue a Berlin?
it's all about not beeing "bof"! Comment on fait pour devenir "dame a chat"? Est-ce qu'il faut changer sa garde-robe quand on déménage de Paris à Berlin? De tout ça et plus on parle avec Cornelia Permstäde Bergström
New episode: Comment habite cet artiste à Paris?
Suivez-moi dans ma quête pour comprendre ce que veut dire « être chez soi ». Et découvrez la réponse de Valentin Curtet Qui nous invite dans sa maison et son univers.
liens:
Valentin: https://www.instagram.com/valentincurtet
HOME: http://www.christianmamoun.com/home-1
Après avoir vécu un premier confinement et étant actuellement confronté au deuxième, certainement pas le dernier, la question du « chez soi » à laquelle nous sommes tous confrontés, qu'on le veuille ou non, est plus importante et actuelle que jamais. Télé́-travail, couvre-feu, confinement, la peur d'attraper le virus en sortant de chez soi, nous lie à nos maisons de manière intense. Pour moi la question « Où est-ce que je me sens chez moi » a toujours été présente.
J'ai grandi entre l'Allemagne et le Maroc et après avoir fait 13 déménagements en cinq ans, pendant mes études, j'ai commencé́ à regarder autour de moi comment les autres habitent et pourquoi ils y sont chez eux. Que ce soit à Paris, Berlin, Rabat ou ailleurs dans le monde je pose la question, jusque-là dans le cadre d'une série photo, et aujourd’hui je lance l'aventure en vidéo car, si une image dit plus que 1000 mots, que se passe-t-il quand l'image commence à parler ?
article sur Haut Province Info - Nuits Photo Pierrevert
L’un de ces jeunes talents, Christian Mamoun lauréat au festival frère d’Essaouira, diplômé de l’école des beaux-arts de Nantes, qui a suivi des cours d’arts déco à Paris fait partie de ces belles rencontres. Lors d’une conversation avec lui nous avons évoqué son art.
Read MoreNew episode: Comment habite cette fashion designer a Paris
Suivez-moi dans ma quête pour comprendre ce que veut dire « être chez soi ». Et découvrez la réponse de Marie Marquet Qui nous invite dans sa maison et son univers. liens:
Marie: https://www.minime-paris.com
HOME: http://www.christianmamoun.com/home-1
Après avoir vécu un premier confinement et étant actuellement confronté au deuxième, certainement pas le dernier, la question du « chez soi » à laquelle nous sommes tous confrontés, qu'on le veuille ou non, est plus importante et actuelle que jamais. Télé́-travail, couvre-feu, confinement, la peur d'attraper le virus en sortant de chez soi, nous lie à nos maisons de manière intense.
Pour moi la question « Où est-ce que je me sens chez moi » a toujours été présente. J'ai grandi entre l'Allemagne et le Maroc et après avoir fait 13 déménagements en cinq ans, pendant mes études, j'ai commencé́ à regarder autour de moi comment les autres habitent et pourquoi ils y sont chez eux.
Que ce soit à Paris, Berlin, Rabat ou ailleurs dans le monde je pose la question, jusque-là dans le cadre d'une série photo, et aujourd’hui je lance l'aventure en vidéo car, si une image dit plus que 1000 mots, que se passe-t-il quand l'image commence à parler ?
lacement de la chaine youtube HOME
Suivez-moi dans ma quête pour comprendre ce que veut dire « être chez soi ». Après avoir vécu un premier confinement et étant actuellement confronté au deuxième, certainement pas le dernier, la question du « chez soi » à laquelle nous sommes tous confrontés, qu'on le veuille ou non, est plus importante et actuelle que jamais. Télé́-travail, couvre-feu, confinement, la peur d'attraper le virus en sortant de chez soi, nous lie à nos maisons de manière intense. Pour moi la question « Où est-ce que je me sens chez moi » a toujours été présente. J'ai grandi entre l'Allemagne et le Maroc et après avoir fait 13 déménagements en cinq ans, pendant mes études, j'ai commencé́ à regarder autour de moi comment les autres habitent et pourquoi ils y sont chez eux. Que ce soit à Paris, Berlin, Rabat ou ailleurs dans le monde je pose la question, jusque-là dans le cadre d'une série photo, et aujourd’hui je lance l'aventure en vidéo car, si une image dit plus que 1000 mots, que se passe-t-il quand l'image commence à parler ?
selected for Lagos Photo2020
happy to be part of LagosPhoto Festival and to share my work HOME by ChristianMamoun with a very interesting platform as the Homemuseum de Lagos Photofestival
Read MoreMerci les Nuits Photographique de Pierrevert
Un grand merci à Stéphane Kossmann le président des nuits photographiques Pierre vert pour son invitation suite au prix « un certain regard »Reçu au Nuits photographique d’ Essauira
Dans un monde de plus en plus deviser par la peur de la différence de l’autre le partenariat de ces deux festivals a créer un pont entre deux pays et cultures, a fait naître des belles amitiés, des échanges passionnant dans un cadre professionnel et convivial et surtout des belles découverts et immersion des projets des artistes sélectionnés!
Un grand merci aussi à Francois Xavier Emery, Claude Bouliou et Serge Nacmias
Je remercie aussi et surtout tout les bénévoles et hébergeurs ainsi que le publique !
Pour moi vous êtes un souffle d’espoir pour la culture dans ce monde post covid et vous donnez du courage et de l’envie pour continuer !
Presse Pierrevert
Presenting HOME in Pierrevert Nuits Photographique
Heureux de passer une semaine à Pierre verre suite au prix un certain regarde que j'ai gagné pendant les nuits photographique d’Essaouira
Merci pour le chaleureux accueil de tout l'équipe et ma hôte !
Je suis autant plus heureux d'être à ce festival car j'y vois une vraie cohérence avec ma série HOME que je présente ici vu que nous sommes hébergés durant le festival chez les habitants du village
facetime with Stephane Kossman, Hakim Benchekroun and Claude Bouliou
interview post confinement avec E-Taqafa / Fondation Hassan II
E-taqafa : Comment avez- vous vécu le confinement ?
Christian Mamoun : J’ai passé mon confinement au Maroc, pour être proche de ma famille. J'étais très heureux d'être au Maroc pendant le confinement car je trouve que la crise a était très bien gérée. Pour le bien de nous tous, nous étions contraints de rester chez nous, je me suis déplacé dans mon esprit et c’était un voyage assez épuisant et pourtant stimulant. J'ai redécouvert des anciennes passions comme la composition de musique, l'écriture de chansons et le dessin. Je me suis mis à lire énormément sur les grandes divas du monde arabe dans les années 20. C'est un monde qui m'intéresse beaucoup ces derniers temps. Le confinement était un moment très étrange et très intéressant à la fois.
E- taqafa : Est- ce que le confinement a eu un impact sur votre art ?
Christian Mamoun : C’était surtout une grande parenthèse. Souffler, s'écouter, écouter les autres, évaluer, mettre en question, évoluer. J'ai décidé de ne pas me laisser rentrer dans une folie de production mais plutôt vivre pleinement ce moment si particulier en pleine conscience. Le monde s'est arrêté. Il fallait faire une pause, respirer et observer ce qui se passait. Ce n'est pas terminé et on navigue toujours. Mais maintenant avec un peu de recul je me rends compte que cela a libéré en moi une volonté de développer certains arts que j'avais laissés trop longtemps de côté. La vie est courte et il faut la vivre pleinement et suivre nos passions jusqu'au bout.
E-taqafa : Vous avez récemment été honoré d'un prix pour la photographie. Qu'est ce que cela apporte au travail ?
Christian Mamoun : Oui j’ai récemment gagné le prix « un certain regard » aux nuits photographiques d’Essaouira. C'est un très beau festival organisé par Hakim Benchekroun. Ma série HOME, qui a été primée, est très personnelle. Travailler sur une série est généralement accompagnée de doutes et de questionnements, donc gagner un prix est une confirmation que ce travail a un droit d'exister et devrait être poursuivi. Ceci m’encourage et me donne l'élan pour continuer. Le Festival était aussi l'occasion de rencontrer beaucoup de monde et il y a de solides amitiés qui se sont créées pendant cette période. Suite à ce prix j'ai été invité en septembre au festival photo de Pierre Vert en France, auquel j'ai hâte de participer.
E-taqafa : Quelle est la particularité de vos photogarphies ?
Christian Mamoun : Il y dans mes photographies une certaine sincérité. Je capte ou mets en scène des moments vécus. Ça se situe quelque part entre la mise en scène et le documentaire. Je reste en revanche toujours observateur et je ne participe jamais.
E-taqafa : Pour vous, quelles sont les caractéristiques de la photographie réussie ?
Christian Mamoun : Pour moi il n'y a pas de bonne ou de mauvaise photo. Il y a ce que l'on voulait dire et ce que l'on dit. Une photo doit être compréhensible sans beaucoup d'explications. Si ma photographie n’évoque et ne stimule rien chez le spectateur elle est ratée.
E-taqafa : Comment préparez -vous un shooting?
Christian Mamoun : Tout dépend vraiment du type de shooting dont il s’agit. Certains doivent être préparés des mois à l'avance avec beaucoup d'équipement et d’assistants tandis que d'autres peuvent s'organiser à la dernière minute. Pour moi cela ne change souvent pas grand-chose à la prise de vue elle-même, c'est plutôt le contexte de la création et la destination de l'image qui mènent à se comporter différemment.
E- taqafa : Comment est née votre passion pour la photo ?
Christian Mamoun : J'ai toujours aimé la photo, mais ma première grosse claque était une exposition de Richard Avedon à Berlin qui m'a vraiment marqué. La première fois que j'ai fait de la photo c'était pendant le tournage de Kanya Makane de Saïd C Naciri, mon cousin, qui m'a donné la passion pour l'image, puis en regardant mert & Marcus dans Vogue. Ensuite ça a continué à Paris avec mon Olivier Löser, photographe aussi, avec qui on parlait pratiquement que de photo. Enfin j'ai appris ma profession en assistant Luis Monteiro à Londres et à New York.
E-taqafa : D'où puisez -vous l'inspiration ?
Christian Mamoun : Je la puise dans la vie de tous les jours. Je ne crois pas vraiment au spectaculaire. Ou plutôt je crois que la vie de tous les jours est spectaculaire si on la vit pleinement.
La réalité dépasse souvent la fiction. Il faut donc tout simplement la regarder et la vivre comme elle vient, et alors c'est passionnant. J'en parle d'ailleurs dans un film sur un long voyage que je suis entrain de terminer, où l'aventure est avant tout des moments d'attente, comme l'attente sur un quai de gare entre deux trains. Le moment d'action est finalement minime. Mais moi, ces moments-là d'attente, je les trouve justement les plus intéressants artistiquement parlant.
E-taqafa : Pourquoi avoir choisi Paris ?
Christian Mamoun : Paris c'est une histoire d'amour et de haine. C'est un peu comparable à une histoire de couple avec une personne physiquement très belle mais ayant un très mauvais caractère ! On s'embête, on en a marre, on se rejette et puis on se regarde et on se dit : wow elle est quand même belle...je sais pourquoi je suis là… il y a quelque chose d'inexplicable qui rend totalement accro et qui rend les départs difficiles. Mais depuis un certain temps je vis entre Rabat et Paris. J’ai l’impression que c’est comme une partie de ping pong où l'un répond à l'autre et à certains moments on a même l'impression que Paris est juste une extension du Maroc tellement beaucoup de gens vivent entre les deux !
E-taqafa : Vos projets ?
Christian Mamoun : J’ai quelques projets qui sont pour l'instant en suspens, à cause de cette crise que nous traversons dans le monde.
Mais j'ai très envie d'approfondir mon travail sur l'intimité et la question du chez soi. Je trouve que pendant et après le confinement nous avons tous compris à quel point le chez soi est important.
Je travaille et développe actuellement ce projet HOME afin de le rendre notamment pour large et plus collaboratif. Et comme tout est possible dans la vie si on y croit suffisamment, je cherche actuellement des financements pour réaliser ce projet qui me tient à cœur.
Summer Vacation
Christian Mamoun is offcially on vacation.
you can still join me by mail: Christianmamoun@gmail.com
enjoy your summer and see you at “ la rentré”
"Tu préfères?" - Artorium en compagnie du photographe @christianmamoun
"Tu préfères?" en compagnie du photographe @christianmamoun Et vous, Que préférez-vous? Laissez nous vos commentaires. Artorium est un lieu d'échange et de partage, c'est un espace d'art dédié à la promotion culturelle, porté par la Fondation TGCC qui oeuvre pour la démocratisation de l'accès à la culture.
Thank you for comming
thank your for comming and making our exhibition such a succes!
feeling blessed to be with Abla Ababou at 1-54 Art Fair best stay at BaB Hotel
1-54 Art Fair - Abla Ababou - BAB Hotel
Happy to announce that I will be present during 1-54 Contemporary African Art Fair with a Abla Ababou Galerie group show at #babhotel
Come meet us February 20 for the opening